Le QR code d’AQUIDEAS

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Classé dans : Communication Mots clés : aucun

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     Si vous voulez opter pour la facilité, voici notre QR Code. Vous découvrirez alors par la technologie d’aujourd’hui notre page d’accueil qui permettra en fin de page de cliquer sur le Journal.

     Dans ce dernier, vous pourrez lire les articles que nous publions sur www.aquideas.fr (ou .com). Il y en a déjà plus de 220 répartis sur 23 pages. Ils ne sont pas que techniques, mais ils considèrent également des thèmes plus généraux pouvant s’appliquer à d’autres secteurs que celui de l’aquaculture, des pêches et du monde aquatique (comme la planification, l’économie, l’ingénierie, la nutrition ou la santé… pour ne citer que ceux-là). Enfin, il y a des articles philosophiques qui se réfèrent aux temps antiques ou proches du XXè siècle. Cependant, toutes ces sensibilités sont constamment mises en relation avec des expériences vécues durant notre parcours professionnel1.

     Certains pourraient se demander, pourquoi écrivez-vous tous ces articles ?

C'est notre petit plus ...librement partagé, puisqu'il est gratuit. Cette pratique devrait être possible chez ceux qui non seulement ont été formés académiquement (de préférence, avec une ou plusieurs formations complémentaires), ayant vécu des expériences particulièrement intéressantes et qui arrivent en fin d'activités sur le théâtre des opérations, mais qui veulent aussi transmettre par écrit ou verbalement. Cette démarche est particulièrement importante pour ceux qui s’intéressent au secteur de spécialisation (dans notre cas, la biologie marine, d’eaux saumâtres et eau douce) ou qui veulent en savoir plus. Cependant dans tous les cas de figure, l’expérience doit impérativement compléter l’information « livresque » de façon à ce que celle-ci devienne plus réaliste et puisse servir à d’autres.

     En 2017, lorsque AQUIDEAS a initié ce genre de communication, les écrits périodiques étaient parfois fort longs ...trop longs selon certains lecteurs. Nous avons donc pris bonne note et aujourd’hui, nous les résumons à ce que nous estimons d’essentiel. Si d’aventure, l’un ou l’autre thème impose un développement plus important (car son explication exige d’être plus complète), l’article est alors scindé en 2, 3 voire 4 parties, occasionnellement avec une ou plusieurs annexes complémentaires. L'intention d'une pareille approche est de satisfaire la curiosité de certains lecteurs qui pourront toujours approfondir en recherchant d'autres références.

     Notez qu’en vous inscrivant à la Newsletter (Infolettre), vous recevrez automatiquement un email2 (courriel) au début de chaque mois vous informant sur les matières traitées dans les nouveaux articles qui viennent d’être publiés en ligne.

     D'autre part, sachez que si vous souhaitez traiter un sujet particulier (si bien-entendu cela peut être en accord avec notre formation et nos expériences professionnelles), nous essaierons ultérieurement d’y répondre dans les limites de notre savoir.

     Enfin, nous acceptons les reproches (s’ils sont bien entendu fondés) que vous pourriez nous adresser en réaction à l'un ou l'autre points de désaccord. Cela fait partie du jeu : lorsqu’on traite avec le grand public, forcément nous nous exposons ...et devons accepter certaines remarques (encore une fois, si celles-ci sont justifiées, car nous ne possédons pas toujours d’acquis la raison). Il nous arrive alors de recontacter indépendamment le lecteur « contestataire » (...un bien grand mot, car comme dirait Einstein tout est relatif dans la vie) pour donner notre point de vue ou éclaircir certains détails que nous aurions émis.

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1 Comme quoi, il y a plus de deux millénaires des Pythagore (-580 à -495), Héraclite (vers -500), Socrate (-470/69 à -399), Platon (-428/7 à -348/7), Aristote (-384 à -322)... avaient déjà délivré des enseignements de qualité et des vérités universelles qui ont tous traversé les siècles sans prendre une seule ride !

2 Pourquoi utilisez-vous tous ces anglicismes dans le texte ? Simplement, parce que nos internautes-lecteurs ne sont pas tous d'expression francophone. Ainsi, « infolettre », « courriel » et bien d’autres substantifs encore ne sont pas compréhensibles pour beaucoup dans d’autres pays (car il y en a qui nous lisent depuis l'étranger): ce sont des termes propres à la langue française et tout le monde ne prend pas le temps de consulter le dictionnaire. Par contre, la terminologie anglaise (comme email ou newsletter, dans le langage US) est tout de suite compréhensible dans le jargon international.

Quelle est le deuxième caractère du mot t7ecm0 ?

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